Biographie de l’auteur : Delphine de Vigan a publié en 2001 Jours sans faim, son premier roman, sous pseudonyme. Elle est l’auteur des Jolis garçons, d’Un soir de décembre, de No et moi (prix des Libraires 2008) et des Heures souterraines. Premier roman de Delphine de Vigan, "Jours sans faim" évoque une dualité entre une jeune femme et son propre corps et l'anorexie.Cette femme qui navigue à la limite des frontières de la mort ou son anorexie est pour elle une carapace contre le monde extérieur. Jours sans Faim est précurseur de l’écriture singulière mais authentique de Delphine de Vigan. Les premiers traits de caractère de sa mère, durement exprimés dans l’inoubliable Rien ne s’oppose à la nuit, commencent déjà à se dessiner. Une écriture viscérale prend vie. Pas de langue de bois, ni de demi-mots. Dès son premier roman, « Jours sans faim », paru en 2001, Delphine de Vigan a su captiver les lecteurs avec son style d’écriture incisif et sa capacité à aborder des sujets délicats avec une grande finesse. Titre : Jours sans faim Autrice : Delphine de Vigan Editions : Folio Date de parution : 19 janvier 2023 Genre : Roman Le premier roman de Delphine de Vigan, Jours sans faim, vient de sortir en poche chez Folio Gallimard. À cette occasion, nous revenons sur ce roman bouleversant et prélude des best-sellers de l’autrice française. her very first novel, Jours sans faim, in 2001 under the pseudonym Lou Delvig, an account of 19 year-old Laure’s anorexia and her stay in hospital to overcome it.2 It later emerged, however, that this account was inspired by Vigan’s own experience. Rien ne s’oppose à la nuit and Jours sans faim have respectively been Cadeaux de Noël : 10 albums jeunesse à glisser sous le sapin. Avec tendresse et douleur, Delphine de Vigan évoque le suicide de sa mère. Sans doute son meilleur livre. Les genoux qui se cognent, des journées entières sans s'asseoir. En manque, le corps vole au-dessus des trottoirs. Plus tard, les chutes dans la rue, dans le métro, et l'insomnie qui accompagne la faim qu'on ne sait plus reconnaître. Et puis le froid est entré en elle, inimaginable. 5Nb5.